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Sources :

  1. Wikipédia en français. Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 ;
  2. le livre « Bras d’Asse, un village de haute Provence » de Damien Quivron ;
  3. Brochure « Le moulin à huile de notre village » éditée par l’ancienne association « les Amis de St-Julien-d’Asse » ;
  4. Propos recueillis auprès de Monsieur Esmiol ;
  5. Cadastre de 1763 en possession de la Mairie de Saint-Julien-d’Asse ;
  6. Livre des mutations de propriétés de St-Julien-d’Asse, ouvert le 15 mars 1819, en possession de la Mairie de St-Julien-d’Asse ;
  7. Registre du Cadastre de 1824 (17 mai) Présentant les augmentations et les diminutions survenues dans les Contenances et les revenus. Mairie de St-Julien-d’Asse ;
  8. État indicatif des centimes le franc de la contribution foncière, ouvert en 1882. Mairie de St-Julien-d’Asse ;
  9. Matrice des propriétés bâties ouvert en 1911 ;
  10. Souvenirs religieux des églises de la Haute-Provence (1879) par M. l’abbé Féraud (1810-1897) ;
  11. Archives Départementales de Digne-les-Bains.
(NdR) Note du Rédacteur

Remerciement à toutes les personnes qui ont donné leur accord pour utiliser dans ce numéro spécial des informations qu’ils avaient collectées.

 

Archives et sources

    

Les Querelles et Procès :
Délibérations du conseil municipal de1791 à 1837
(Source 11, référence EDP 182/9)
Extraits de délibérations, correspondance, biens communaux, (Source 11, référence EDP 182/10) :
À la Révolution, les biens du Seigneur Barlatier ont été vendus aux habitants
le 13 ventôse de l’an 2.

Ensuite a éclaté une controverse entre les communes d’Entrevennes et de « St-Julien-sur-Asse » au sujet de terres, soi-disant en indivis, mais dont St-Julien s’était approprié.
Le jugement du 3 nivôse an 11 a débouté Entrevennes et donné raison à St-Julien.
Cette affaire a eu des rebondissements jusqu’en 1836.

Enfin le 22 avril 1818, un jugement à l’amiable est demandé par la préfecture de Digne entre les communes d’Entrevennes, St-Julien-d’Asse et les héritiers des Barlatier représentés par la Dame Payan St Martin veuve Barlatier.
(Source 11, Référence: EDP 182/1).

 
Les archives départementales (source 11) recèlent plusieurs documents qui attestent de l’ancienneté de Saint-Julien-d’Asse :
- le livre de l’Abbé Féraud
(source 10) qui fait mention de la création d’un prieuré à St-Julien en 1096 (voir ci-dessous) ;
- la « reconnaissance passée par les habitants de St-Julien-d’Asse en faveur du noble Esparon de Bras, coseigneur dudit St-Julien » (1488)
- la « reconnaissance passée par les habitants de St-Julien-d’Asse en faveur de Monseigneur Antoine Lascari de Tende, évêque de Riez « moyen seigneur de St-Julien-d’Asse » (1494)
- la « reconnaissance passées par les habitants de St-Julien-d’Asse en faveur d’Augustin Bremond escuyer et « en qualité » du seigneur et maître des droits et biens dotaux d’Aygglette de Bras-d’Asse dame en partie de Saint-Julien-d'Asse (ci-contre)
(Source 11, référence EDP 182/8)